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Découvrez deux futurs Stars de Bollywood

Les fils du célèbre acteur des années 70, Shatrughan Sinha, voici deux futurs stars de Bollywood deux freres jumeaux, Luv Sinha et Kush Sinha. Luv Sinha aurait deja signé un contrat avec une grande maison de production.

Le Pere


La Famille au complet


Luv Sinha et Kush Sinha






Le réalisateur de Devdas revient avec Saawariya, plus que jamais à la croisée des chemins entre Orient et Occident. D’une richesse visuelle exceptionnelle, ce très long film est comme embarrassé par son entremêlement culturel, limitant une démesure prometteuse. Saawariya dans nos salles francaises le 29 Juillet 2009


Résumé :
Artiste vagabond et doux idéaliste, Raj arrive dans une ville rêvée, entourée de montagnes, drapée de brume et enveloppée de magie. Lors d’une nuit étoilée, il remarque une jeune femme voilée de noir qui se tient seule sur un pont. C’est Sakina, mélancolique et mystérieuse, dont il tombe amoureux. Tentant de la séduire, le jeune homme découvre peu à peu le secret dissimulé dans le cœur de Sakina. Tous deux s’embarquent alors pour un voyage de romance, de désir et de passion...

Il paraît que Saawariya est inspiré d'une nouvelle de Dostoïevsky. En dehors d'une forme d'outrance chez les personnages, la relation n'est pas évidente. Esthétiquement, on pense bien plus à des emprunts occidentaux du côté de Moulin Rouge ou Ballroom Dancing. L'intrigue, qui confronte dans un premier temps un nouvel arrivant naïf à une prostituée délurée, nous fait d'ailleurs croire à une adaptation du film de Baz Luhrmann. L'histoire s'éloigne vite de cette référence, en revanche l'esthétique clinquante du Bollywood possède bel et bien cette tendance pas si évidemment orientale. Le film, placé immédiatement sous le signe de l'onirisme, évoque même le carton pâte de Tim Burton. Bref, l'extravagance esthétique n'est pas seulement le fruit des dorures et clochettes orientales mais d'autres influences qui nous font croire à un renouvellement via ce film hybride.

Reconnaissons que la plupart des scènes sont des tableaux bluffants entre David LaChapelle et Pierre et Gilles pour trouver un équivalent kitsch occidental contemporain. Enseignes scintillantes, poses des acteurs, lumière et photographie très léchées...Des cartes postales esthétisées à l'extrême. Rien que pour cela, Saawariya vaut le détour. Il faut tout de même accepter de passer 2h20 en salle pour beaucoup, beaucoup de longueurs. Bollywood n'a jamais cherché à faire bref, ce film ne fait que confirmer cette habitude : le tableau « Entracte » apparaît alors qu'on croit toucher à la fin. Quand on vient chercher du divertissement, ce manque de rythme est assez fatal.

On regrette aussi que le film donne si peu lieu à du grand spectacle musical avec danseuses et clochettes à foison. On savoure donc le numéro de l'amie prostituée Gulabji. Chants haut perchés, saris multicolores, bijoux en quantité, regards langoureux et subtils déhanchés... Sur les fauteuils rouges du cinéma, les derrières se trémoussent. Mais la plupart des passages de comédie musicale limitent leur aspect typique. Comme pour se détacher de la tradition, la mise en scène perd de sa naïveté, comme si elle adoptait une pensée plus occidentale, plus froide, moins emportée mais aussi moins entière. Ce mélange provoque un étrange décalage, l'anti-héroïsme de Raj est gênant car souvent plus ridicule que touchant. Certaines scènes cherchent de façon évidente l'émotion hollywoodienne mais dans un style totalement dépassé et très lourd (violons, gros plans sur le visage tendu d'émotion...). Cet étrange melting-pot culturel n'est jamais abouti, limitant à la fois l'émotion et le divertissement.

Si les films Bollywood sont par définition une association entre des cultures typiquement orientales et occidentales, Saawariya montre une évolution forte avec cette mise en scène à la croisée des chemins, visuellement impressionnante, mais infructueuse dans son caractère divertissant.

critique du site dvdrama.


MA CRITIQUE DU FILM SAAWARIYA : http://bollywood.over-blog.net/article-29698530.html

Les soldats indiens ont participé aux répétitions du défilé, aux côtés des autres régiments, vendredi dernier sur les Champs-Élysées.
Les soldats indiens ont participé aux répétitions du défilé, aux côtés des autres régiments, vendredi dernier sur les Champs-Élysées. Crédits photo : AFP

Après quelques incompréhensions, le défilé marque cette année la réconciliation entre le chef de l'État et les forces armées.

Ce fut une année lourde, marquée par la restructuration des forces armées, par la réintégration de Paris dans le commandement intégré de l'Otan et par le retour de la France dans les opérations de guerre en Afghanistan. Il y a tout juste un an, militaires et politiques avaient vécu un 14 Juillet sous haute tension, marqué par la polémique qui avait opposé Nicolas Sarkozy et les officiers français après le drame de Carcassonne, au cours duquel seize personnes avaient été blessées.

Les mots du président français, qui avait dénoncé «l'amateurisme» de l'unité, avaient créé une vive controverse et entraîné la démission du chef d'état-major de l'armée de terre, le général Bruno Cuche. L'incident n'avait en fait qu'aggravé un malaise perceptible depuis plusieurs mois dans l'armée, qui a dû subir une cure d'amaigrissement imposée par le pouvoir politique et se résoudre à la suppression de 54 000 postes.

Un «partenariat stratégique» renouvelé

Un an après et quelques gestes d'apaisement du chef de l'État plus tard, l'heure est plutôt à la réconciliation. Et même si des différences de culture, de style et de personnalités maintiennent encore souvent une distance, les apparences sont désormais préservées.

Après les pays de l'Union européenne en 2007, les Casques bleus de l'ONU et le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-Moon l'an dernier, l'Inde et son premier ministre Manmohan Singh seront cette année les invités d'honneur du défilé du 14 Juillet.

Lancée par le président français, l'invitation n'a été confirmée qu'en mai dernier, une fois que le chef du gouvernement indien eut été reconduit à son poste après la victoire de son Parti du Congrès aux législatives. Presque 400 soldats issus des trois armes descendront mardi les Champs-Élysées, au rythme d'un orchestre militaire d'environ 90 musiciens. Ce sera tout un symbole : pendant la Première Guerre mondiale, les soldats indiens, alors sous commandement britannique, avaient combattu contre l'Allemagne lors de la bataille de Neuve-Chapelle, dans le nord de la France, en 1915.

L'année dernière, en janvier 2008, c'est Nicolas Sarkozy qui avait été l'invité d'honneur de la parade militaire de la fête de la République indienne. Pendant cette visite d'État, les deux pays avaient renouvelé le «partenariat stratégique» qui les lie depuis 1998. Après Israël et la Russie, la France est le troisième fournisseur d'équipements de défense de l'Inde. Le premier ministre indien a, par ailleurs, effectué une visite à Paris en septembre dernier pour signer un accord de coopération dans le domaine civil.

Autre nouveauté de ce 14 Juillet : la présence du secrétaire général de l'Otan, Jaap de Hoop Scheffer, invité par Nicolas Sarkozy. Ce sera la première fois qu'un secrétaire général de l'Alliance atlantique assistera au défilé sur les Champs-Élysées depuis que Paris, à l'initiative du général de Gaulle, en avait quitté le commandement intégré en 1967. Un message à la fois symbolique et politique, qui suit de quelques semaines la réintégration de la France dans la structure intégrée de l'Otan, promise par le président français et concrétisée en avril à l'occasion du sommet de l'Alliance de Strasbourg-Kehl.

source ; figaro


L'actrice de Bollywood Neha Dhupia fait la couverture du magazine FHM, avec des photos tres sexy !

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